L'auteur est étudié la phénoméne de la rigidité décérébrée en examinant les changements dans les chronaxies des antagonistes (muscle jambier antérieur et muscle gastrocnémien) de chat au moyen du chronaximétre de Lapicque. Il y a donc une réponse formelle a la question: malgré le rapport 1:2 entre les chronaxies des antagonistes normales le rapport en la condition de la rigidité décérébrée resulte 1:1, et il est pensé que les changements des chronaxies des antagonistes doivent être attribué a les changements des tonus des muscles par la impulsion cérébrale.